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DU COTE DE LA PRESSE
A l’Espace Déficients visuels, « DECLIC », le magazine de la famille et handicap, est à votre disposition. Dans le n° 167 de septembre et octobre 2015, nous vous présentons une sélection d’articles :
Nathalie Le Breton, des parents plus-que-parents… (p. 6-8)
La journaliste Nathalie Le Breton, anime l’émission de France 5, « les Maternelles », elle aborde sans tabou les situations de handicap des enfants dans les familles.
L’intolérance alimentaire en 6 questions (p.46-47)
L’intolérance alimentaire est une hypersensibilité de l’organisme à une substance apportée par l’alimentation. Cet article nous incite à favoriser au maximum des aliments sains et diminuer certains produits alimentaires.
On ne dit pas : « T’es moche ! » (p.54-55)
Les enfants atteints d’autisme ou de trouble de l’attention éprouvent des difficultés d’adaptation sociale. Des professionnels : psychologues, orthophonistes, psychomotriciens ou éducateurs mettent en place des groupes d’entrainement pour les aider à vivre dans la société
La revue MIEUX VOIR, magazine en gros caractères, est à votre disposition.
Dans le numéro de novembre 2015, nous avons sélectionné pour vous les articles suivants :
- Les nouvelles connexions familiales (p. 22-27)
Télévision, ordinateur, téléphone mobile, tablette…Chaque foyer compte en moyenne plus de six appareils numériques. Cet article nous interpelle sur le Web qui est un formidable outil, mais nous rappelle également qu’il faut faire preuve de vigilance sur les risques de divulgation de nos informations privées.
- Implants dentaires : gardez le sourire ! (p. 36-39)
C’est la solution la plus solide pour remplacer une ou plusieurs dents manquantes et retrouver un large sourire. Les spécialistes nous exposent les nouveautés et les conseils d’entretien pour que notre bouche soit exempte de toute pathologie.
- Basse vision : le dépistage de la DMLA, à réaliser dès 55 ans (p. 56-57)
La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est la première cause de malvoyance en France. Les ophtalmologues nous rappellent que le dépistage est important passé 50 ans, car à l’issue du dépistage, l’apparition d’éventuels symptômes de la maladie va conduire à un examen plus complet.